After hours a fini par me taper sur le système nerveux mais trop tard pour que je n’attende pas tout de même la fin du film. Piège abscons à l’image duquel j’ai réussi à me pourrir le week-end toute seule comme une grande (looseuse). Demain, moi aussi, comme Paul, je me mettrai en face de mon écran d’ordinateur au boulot et je recommencerai une semaine sans réfléchir. Morale du film : dormir d’abord.
2 réflexions sur « After hours, ce n’est plus l’heure »
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Amusant, j’étais aussi devant — alors que je rangeais l’appart’ –, mêmes impressions (j’adore le générique de fin !).
Pour faire oublier que je n’ai aucun souvenir du générique de fin – trop heureuse que ça se finisse-, je pointerai négligemment le doigt sur « alors que » et le laisserai traîner comme sur une étagère pleine de poussière pour qu’apparaisse l’ambiguïté opposition temporelle/simultanéité. Mettons comme compromis que tu rangeais le bordel du canapé ^^