La dissertation peut-elle être autre chose que la recherche du moindre mal ?

Thèse : en théorie, oui. La pensée qui s’emballe, l’argumentation qui se déplie, la plume qui se délie tandis que l’esprit court. La construction, le paradoxe, la vérité.

Antithèse : en pratique, non. La pensée qui se remballe, l’argumentation qui se replie, la plume qui s’arrête court tandis que l’esprit se dédit. Le choas, la contradiction, la correction (d’un trait noir, plus sévère que le rouge rageur).    

Synthèse : en supplication, pitié. Stop, pause. Je ne pense plus clair.  » La politique peut-elle être autre chose que la recherche du moindre mal ? »  Je vous en pose moi de ces questions ? 

 

5 réflexions sur « La dissertation peut-elle être autre chose que la recherche du moindre mal ? »

  1. j’ai toujours pas commencé! (en fait, je sors tout juste de table…) je dois avant toute chose finir weber. beuh…

    1. Ps , c’est encore moi… Joruri est l’ex-koan. Ne cherchez pas, je n’y comprends plus rien moi non plus, c’est normal…

    2. Gniiii…
      Plus j’y réfléchis, plus je suis convaincue que l’homme est un idiot heureux de nature à qui l’on pose des questions qui le poussent à aller si loin dans la réfléxion qu’il finit par être malheureux de ne pas en trouver la réponse.
      Pour conclure, je dirais que j’ai une subite envie de redevenir un bébé que l’on promène dans sa poussette avec son doudou. Oui parce qu’il peut se balllader avec son doudou sans honte, lui!

      >.< On est lundi et je fatigue déjà…

    3. On peut pas dire «peut-être», signer et partir dans la grande et belle vie pleine de promesses de moindres maux ?
      🙂

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