En jetant les reliques de mon époque star-system victim (Di Caprio et companie), j’ai récupéré assez de pochettes plastiques pour subvenir à mes besoins de classement jusqu’à la fin de mes études universitaires. (Hors cours d’histoire, reliés, tant celle-là aurait le temps de nous devancer si l’on se mettait en tête de ranger les polys dans un classeur)
Il n’y a plus lieu d’avoir honte de ce que l’on a été, puisque le propre de l’avoir été, c’est qu’on ne l’est plus… Si – il me serait préjudiciable que vous en doutiez.
Si. On peut très bien avoir honte d’avoir été fan de Di Caprio. Si si. Ne te cherche pas d’excuse.
Après, tu ne l’es plus aujourd’hui, tu as évolué, c’est bien. Mais repens toi d’un passé aussi obscur, peut-être un jour seras-tu absoute.
Cette agressive ironie serait-elle un moyen de protéger un passé non plus avouable ? ^^
Moiii ? Que nenni.
…
Non, j’vous jure !
Arrêtez de me regarder comme ça !
…
Maaaaais !
aha l’époque de dicaprio ou tu rangeais les images de ce cher leonardo dans des pochettes. 😀
et tu te rapelles les spice girls aussi ?
alala quelle époque