Je ne sais pas si c’est d’exercer mon regard à dénicher dans les textes guillemets mal fermés, majuscules non accentuées ou colocations néologisantes et à repérer l’intrus qui fait que les choses ne sont pas comme elles devraient être, mais aujourd’hui j’ai sauvé une carte de cantine sur le couloir tapis roulant de la mort poubelle et par conséquent sa propriétaire de son rachat, ainsi qu’un sac en plastique contenant du tulle rose fushia, et par conséquent la gamine à qui on allait faire un costume.
5 réflexions sur « (au) sortir de sa/la coquille »
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La gamine était ravie. Elle avait mis subrepticement cette horreur roseâtre, dont on prétendait la revêtir, sur la route du néant – et c’était foutument bien parti. Soudain une jeune femme en souriant (cf: une sorcière en ricanant, rayer la mention inutile) se mêla de ce qui ne la regardait pas.
Rogntudju.
Du tissu, point de costume encore : à mon avis il venait d’être acheté… Mais j’ai effectivement peut-être désespéré une gamine moins cul-cul la praline que sa grand-mère. Dernière chance pour elle : un oubli du sac dans le métro.
Ou le grignotage… Pour une souris, le tutu, c’est bon comme un « cornet d' »amour surpris », non ?
Ou le grignotage… Pour une souris, le tutu, c’est bon comme un « cornet d' »amour surpris », non ?
Cette glace a l’air de vous avoir traumatisé. Au lieu de vous évertuer à la briser, vous feriez mieux d’y goûter.