Si tu comptes en mot, c’est que tu apprends ton vocabulaire latin.
Si tu comptes en lignes, c’est que tu fais de la version.
Si tu comptes en pages, c’est que tu passes ton temps à le retrouver – madeleine à l’appui ?
Si tu comptes en chapitres, c’est que tu élucides Aristote.
Si tu comptes en polys, c’est que tu désespères de finir les relations internationales.
Si tu comptes en épisodes, c’est que tu t’es plantée devant Sex and the City.
Si tu comptes en macarons, c’est que tu as ton compte et qu’il est bon.
J’espère que ton compte de poly est désormais plus proche de zéro que la dizaine…
J’compte en heures… donc?
Et pour compter en caractère il faut avant tout une passion, les lettres sont ouvertes à tous,
la technique s’apprend quand on veut et n’est au demeurant pas si barbare qu’on pourrait
se l’imaginer. Un peu de méthode, de précision
et d’œil, rien d’inaccessible, et rien que je n’aie encore réellement.
Au plaisir, merci pour le commentaire. 🙂
Et si on compte en kilos, ça peut compter pour le nutella? XD
Que c’est joli!
Je ne compte pas moi, je suis une pure littéraire.
Ne jamais compter, c’est le secret… Quand on aime…
Et quand on aime pas, on fait pas!
Bon, cela dit, moi je comptais en fiches, en prépa.
En mots, aussi, pour les mots latins.
Pour ma thèse, j’ai commencé par compter les heures, et puis j’ai pris peur et j’ai préféré arrêter pour ne pas avoir en tête le chiffre fatidique de tout ce temps que j’aurais pu consacrer à mes vraies passions (les macarons, le ciné, les câlins, enfin des truc bien quoi).
zED >> Non, le nombre de polys est toujours plus près de la dizaine que du zéro. En revanche, le nombre de polys que je compte faire s’est considérablement amoindri. Toutes mes condoléance à la place des énergies dans les relations internationales ou encore à la macédoine balkanique (la mayo a tournée…).
Aleks >> Tu ne compterais pas en mouches ou en corneilles, parfois?
Lollip >> Rho ça me donne envie de m’y pencher de plus près. *déroule et anote son parchemin des trucs-à-faire-après-la-prépa* Mais plus que le dessin des lettres elles-mêmes, c’est l’interlignage et le réglage de tous les espaces qui me semble ardu. Enfin bon… en attendant je passerai sur ton/votre blog.
Hannanej >> A la maison, on compterait plutôt en verre (Nutella chez nous, Amora chez ma grand-mère), mais libre à toi…
Piperata puella >> Ce que j’adore avec les littéraires, c’est le temps que peut prendre la dissection d’une addition après un repas où chacun paye séparement et n’a evidemment pas l’appoint, ni même de monnaie. (pas drôle sinon)
Miss M. >> Tu ne comptais pas ta thèse en litres de thé ? ^^
Moi je compte en nombre de livres d’histoire qu’il aurait fallu que je lise…
Et quand on compte en cotes, en numéros d’exemplaires, et en saisies de notices ?
Han, jolie note.
J’compte en jours, le temps jusqu’à son retour.
J’compte en minutes, le cours de littérature qui n’en finit jamais.
Mais j’compte en carré, voire en plaquette, mon seul et terrible pêché. Le chocolat :p
gudule_mdm >> Les comptes au conditionnel passé, c’est terrible. Il était une fois une liste d’impératifs non remplis qui n’avaient d’égal que notre flemme…
Laël >> Je donne ma langue au chat…
Oxymore >> Quand aurai-je le plaisir de compter en posts par chez toi ?