Mamie myosotis

Ne m’oublie pas : la bande-dessinée d’Alix Garin emprunte son nom au myosotis (forget-me-not en anglais — et Vergissmeinnicht en allemand, m’apprend Wikipédia) pour une très jolie histoire entre une grand-mère et sa petite-fille Clémence, qui l’enlève de son EHPAD sur un coup de tête.

J’ai aimé les couleurs délicates, tout comme les lumières et les émotions, délicates elles aussi.

J’ai aimé ces évocations du passé en noir et blanc quand Clémence revoit son enfance dans la maison désertée de sa grand-mère :

C’est plein de joie…

… de tristesse aussi…

… plein de beauté.

Et, alors que les annonces immobilières me laissent de marbre, mon petit cœur se serre devant une maison dessinée à flanc de falaise (réminiscence d’un autre dessin, d’une autre dessinatrice, que je regrette de ne pas avoir acheté) :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *