Métaphore éphilochée

J’ai tout de suite vu qu’on voulait nous embobiner. Mais comme il n’était pas question de se débiner, j’ai attrapé le premier fil directeur que j’ai trouvé. Avec, j’ai brodé quelques arguments et j’ai cousu mes transitions de fil blanc. J’ai tiré tout le fil ; puis je suis arrivée au bout du rouleau.

C’est seulement après qu’on m’a dévoilé ce qui m’avait préoccupée : dans la guerre est-elle la préoccupation du droit politique ? il fallait voir que la pré-occupation est ce qui occupe avant. Je savais que je filais un mauvais coton. Là, on arrache le point d’interrogation et on en fait le crochet du capitaine crochet pour crocheter une écharpe qui servira à s’étrangler à la remise des copies un crochet par un agréable déjeuner avec une camarade khâgneuse. Parce que dans vacances, il y a du vide, alors il faut commencer à le faire aussi vite que possible. Dans sa tête à défaut du bureau où les feuilles et les promesses de devoirs s’entassent. Mais le devoir est secondaire en vacances, il découle du droit, et non plus le droit de dormir découle du devoir bâclé ou accompli. Bazardez-moi toutes ces antiquités. Ce sera peut-être un moindre mal : après tout, le devoir est parfois plus agréable de ce qu’il n’est pas (encore) une contrainte. On en reparlera certes la veille de la rentrée. Pour le moment, VALE !

2 réflexions sur « Métaphore éphilochée »

  1. Raaaaaa zut ! J’aurais bien aimé traiter ce sujet ! (la guerre etc. les métaphores guerrières etc.)

    Bonne vacances, tu l’as bien mérité ; )

    VALKE ! (comme on dit chez nous)

    1. PS : je suis très honoré de figurer parmi la liste de tes blogs amis en tant que « Coming Mox » (j’ai même droit à un petit… petit… truc bidule bannière de ta confection ! Que me faut-il de plus pour noël (mis à part les super pouvoirs d’Anatole Bailly que j’ai commandé au pater noël) ?!

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