Of kangaroos and men

     Le pays des kangourous est d’abord celui des moutons : ils sont plus nombreux que les habitants. ¨Pourtant, la viande que l’on met à toutes les sauces, c’est le poulet et l’animal qui fait le pendant de l’émeu sur les pièces de cinquante centimes, le kangourou. Pour approcher cet animal mythique, nous sommes allées au zoo. Nous avons pu caresser et même nourrir ces bêtes qui ont un vague air de lièvre dans la gueule… (là, je viens de signer mon arrêt de mort, je sens gronder l’indignation d’Audrey ). Pour les bonds effrénés, il faudra repasser ; ils somnolaient comme des chats au soleil. Mon véritable coup de cœur animalier fut moins les koalas (mais manger et dormir, ça me va pour une vie future – la puanteur en moins si possible) que les wombats, ces drôles de cochons d’inde géants à tête d’écureuil et qui marchent parfaitement au rythme de la musique de Fantasia.

2 réflexions sur « Of kangaroos and men »

  1. ? La seule façon de voir des kangourous en Australie est donc d’aller au zoo ?
    Naïvement, j’avais encore en tête l’image d’un grand désert (avec de grandes montagnes en fond) dominé par un énorme ciel bleu, et où de gais et bondissants animaux à poche ventrale gambadaient joyeusement.

    1. Aleks >> Sûrement… dans le bush. Mais on oublie que l’Australie est un continent à lui tout seul et que faire un saut de puce sur la carte du pays prend des heures de trajet. Nous ne sommes donc pas allées dans l’outback. Les seuls kangourous en liberté que nous ayons vu (car il y en a, tout de même), c’est dans un parc national, où ces bêtes sauvages mais pas vraiment farouches mènent leur petite vie, à distance des quelques campeurs du coin.

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