Le khâgneux passe un concours improbable, i.e. subjectivement impossible.
Mais comme il sait qu’il a mathématiquement une chance, objectivement calculée à partir du nombre de khâgneux de France et de Navarre et du nombre de places à pourvoir, il continue.
Le kâgneux se vautre dans son amour des lettres pour quelques chiffres hermétiques.
C’était une démonstration hautement transcendante, je vous l’accorde.
Le calcul est vite fait, je crois…
Et pas besoin d’être un fin mathématicien pour comprendre/se résigner !
Alors il faudrait nuancer les probabilités à l’aide des statistiques de chaque prépa lissée sur plusieurs années. Dans la nôtre, on avait assez peu de chances, ce qui a fait dire à une amie : « mais le concours, moi je croyais que c’était juste une légende… »
Et le jour du vrai concours, nos surveillants étaient perplexes devant notre hilarité. Beaux souvenirs…