J’ai fini de Gaulle.
D’accord, il m’a achevé, mais quand même. Vive le khâgneux libre !
Le premier qui objecte que le Québec libre est une utopie, je l’envoie faire un stage chez les Soviétiques.
Chroniquettes de la souris
J’ai fini de Gaulle.
D’accord, il m’a achevé, mais quand même. Vive le khâgneux libre !
Le premier qui objecte que le Québec libre est une utopie, je l’envoie faire un stage chez les Soviétiques.
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On finit par tisser un lien personnel et presque intime avec l’objet de nos souffrances : je révise untel, je suis passé en khôle sur tel autre (marche aussi avec le nom de nos profs).
Et après « De Gaulle » ? Quand y en a plus, y en a encore ! (généralement)
J’ai cru comprendre qu’en latin, c’est avec César que vous tissiez des liens très intimes… ^^
zED >> Malheureusement, l’infini est ce qui, une limite étant posée (réviser tout Pascal en une après-midi, à tout hasard), a toujours quelque chose à l’extérieur de lui (des fiches sur Arendt, Rousseau et Merleau-Ponty, à tout hasard).
Inci >> Tellement intimes, que mes révisions de latin se limitent à deux heures passées en tête à tête avec lui. Le comble du romantique.