Le peuple khâgneux, sûr de lui et dominateur

J’ai fini de Gaulle.

 

D’accord, il m’a achevé, mais quand même. Vive le khâgneux libre !

Le premier qui objecte que le Québec libre est une utopie, je l’envoie faire un stage chez les Soviétiques.

3 réflexions sur « Le peuple khâgneux, sûr de lui et dominateur »

  1. On finit par tisser un lien personnel et presque intime avec l’objet de nos souffrances : je révise untel, je suis passé en khôle sur tel autre (marche aussi avec le nom de nos profs).

    Et après « De Gaulle » ? Quand y en a plus, y en a encore ! (généralement)

    1. zED >> Malheureusement, l’infini est ce qui, une limite étant posée (réviser tout Pascal en une après-midi, à tout hasard), a toujours quelque chose à l’extérieur de lui (des fiches sur Arendt, Rousseau et Merleau-Ponty, à tout hasard).

      Inci >> Tellement intimes, que mes révisions de latin se limitent à deux heures passées en tête à tête avec lui. Le comble du romantique.

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