Non, je n’ai pas vu l’exposition au musée d’Orsay.
Mais oui, je reviens d’Italie. De la Toscane, plus précisément, près de Florence.
Je n’ai pas été prise du syndrome de Stendhal, que je ne connaissais d’ailleurs pas (le syndrome, pas Stendhal, malheureusement) : Florence est une ville haute, agitée, extrêmement bruyante, d’autant plus bruyante que nous dormions dans un gîte en pleine campagne, tellement calme que l’on aurait pu, selon Caroline, « coller un procès-verbal aux cigales » pour tapage diurne.
Série de posts à venir :
Conduire en Italie et survivre
Voir la Renaissance et mourir (d’ennui)
Manger italien et grossir sourire
Voir l’Italien et rire
Voir Roberto Bolle et tuer (à moins que je ne réserve le verbe pour les bestioles, je ne sais pas encore)
Le dernier titre ne va pas du tout.
« Voir Roberto Bolle et occire »
Voilà qui est bien mieux.
Bonne idée de parodier le slogan de l’expo ; )
Palpatine >> Once more, you’re right. Ça a un côté parfaitement grandiloquent en plus, « occire » : on voit bien le meurtre à l’épée sur scène ^^
Yannick >> La prochaine fois, on ira la voir 😉