C’è ancora domani

J’ai aimé
le ton,
la légèreté revendiquée pour un sujet qui ne l’est pas,
la langue italienne, même si je me suis lassée de l’entendre criée,
les grands maigrichons croisés dans la rue du générique (mon faible italien est aussi archétypal que leur machisme),
le déjeuner-désastre de fiançailles,
la danse pour la violence, comme une chanson que l’on connaît trop bien, comme des coups que l’on veut escamoter, éviter de reproduire, même à l’écran,
[spoiler]
la pirouette finale, passionnément (j’ai cru jusqu’à la fin à l’embarquement pour un train, puis à mesure que les regards montaient, pour un bateau),
la résistance au postulat amoureux au profit d’une émancipation collective. [/spoiler]

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