Les ors du théâtre des Champs Élysées après les bruns de la Philharmonie, la douceur indécente du pull de Palpatine, la chaleur des voix humaines… Ce Stabat Mater de Dvořák a pris des airs de Suave mari magno, la non-traduction du latin aidant à mettre à distance les souffrances chantées. De là où j’étais, tout n’était que douce beauté ; je n’ai même pas pensé à aller à la pêche aux métaphores et, de fait, n’en ai pas rapporté. De ce concert, je me contenterai (avec contentement) de dire que j’y assisté. Amen.
Pardon : AaaaAAAaAaaaAaaaamen.