Londres, la belle défaite

Première et dernière fois : une heure de froid pour dix minutes de feu d’artifice. Cela a commencé par un bouquet et a continué jusqu’à ce qu’il soit fâné, après l’avoir maintes fois soupçonné de façon anticipée et avant qu’on ait pu bien le nommer. Un regret : de ne pas avoir été assez proche pour sentir les détonations résonner à l’intérieur du corps. Presque plus émue par les fusées privées tirées du bateau amarré tout près.

 

La Belle des fêtes, défaite comme les cheveux au lever du lit, comme les cheveux déployés d’une étoile filante lors d’une promenade nocturne.

Chez Fortnum and Mason, parmi les pommes, les oranges, les pamplemousses et les ananas, des oranges piquées de clous de girofle comme une espèce à part entière.

 

Des lumières in-cab-ables de capoter.

 

Déchets dorés pour le premier jour de l’année.

2 réflexions sur « Londres, la belle défaite »

  1. Même expérience l’an dernier, tassée sur London Bridge pour 10 minutes de feu et quarante minutes de queue pour rentrer dans le tube!
    Mais Londres tout de même qu’est ce que c’est bien…

    1. On a renoncé au pont pour une « overflown area » sur les quais, un peu plus loin, histoire de ne pas mourir écrasé (juste de froid). And yeah, London is fun.

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