Parce qu’Instagram, c’est bien, mais disposer de son propre contenu, c’est mieux, voici tout le voyage en Angleterre en stories (oui, j’ai sauvegardé, renommé et rempli le texte Alt de 134 images).
Chroniquettes de la souris
Parce qu’Instagram, c’est bien, mais disposer de son propre contenu, c’est mieux, voici tout le voyage en Angleterre en stories (oui, j’ai sauvegardé, renommé et rempli le texte Alt de 134 images).
Merci beaucoup pour quelqu’un comme moi qui n’est plus sur Instagram 🙂
Au vol :
– Plus je vois de Brighton, plus j’ai envie d’y aller, je ne sais pas pourquoi cette ville m’attire tant
– Le panneau de porte « oh no not you again » est par-fait
– Trop trop drôle la résonnance de voir « I want to die but I want to eat tteokbokki » – j’ai feuilleté sa version en langue originale à Séoul il y a une semaine parce que le dessin de couverture me plaisait et le titre (via google trad) m’intrigait ; ce hasard de le retrouver ici m’a convaincue de l’acheter (et les tteokbokki ont d’ailleurs été une révélation culinaire de ce séjour)
– les marshmallows dans le chocolat c’était pour moi une découverte d’enfance dans Calvin et Hobbes, et une gourmandise récurrente de mes soirées d’hiver !
> Brighton a un petit côté arty destroy effervescent qui pourrait effectivement bien t’aller.
> J’imagine bien transposer intérieurement en : « Oh no, not me again » en rentrant chez moi chaque soir.
> Oh, tu me raconteras cette lecture ? Si tu passes à Lille, on pourra aller manger des tteokbokki dans une échoppe coréenne qui a ouvert l’année dernière (mais je prendrai des mandu, parce que la sauce épicée des tteokbokki est difficile sur la fin).
> Les marshmallows dans le chocolat sont donc sous nos latitudes vraiment une tradition qu’il faut découvrir, qui n’est pas transmise dans un cadre familial. (J’ai désormais un paquet de mini-marshmallow dans mon placard ; reste à voir combien de temps il faudra pour en venir à bout passé l’amusement.)
. J’ai dû passer complètement à côté de ton Instagram, je n’ai rien vu (ou c’est moi, je n’y suis plus trop en ce moment… la faute est sans doute mienne, les RS et moi on s’apprécie de loin), donc merci !
. Moi aussi j’adore la porte avec « oh no not you again », mais si je mets ça sur la mienne on va encore me dire que je ne suis pas sociable (pour l’anecdote qui me revient à cette évocation : Kira avait 2 ans et demi, mon téléphone sonne et là, devant ma belle-famille qui est à la maison, elle sort un tonitruant « Oh non ki ki cé encore ! » qui m’imitait assez bien, je dois le dire ; la gênance ^^). Je le vois vraiment bien sur ma porte, rien à faire 😀
. Il faut absolument que j’aille en Angleterre, conclusion de ton voyage
> Les stories Instagram sont éphémères ; on passe facilement à côté si on suit pas mal de monde et que l’algorithme les relègue à la fin.
> Ça sent l’ajout du panneau « oh no not you again » à la wishlist de Noël…
> J’approuve cette conclusion.
Fabuleux ce voyage à rebours, les Cotswolds m’évoquent plus que jamais cet esprit « une pinte au pub après la randonnée du jour ».
Des amis originaires de Brighton nous ont décrit la ville comme un bastion gauchiste qui se gentrifie tranquillement (ce qui se retrouve un peu à Sheffield aussi), as-tu ressenti la ville ainsi ?
Le bastion gauchiste en cours de gentrification me semble tout à fait accurate — d’autant que le AirBnB où nous séjournions était celui d’un artiste peintre parti en camping avec sa famille : ça donne le ton du (bourgeois) bohème.
Quant aux Cotswolds, j’imagine que la « tisane au cottage après la promenade du jour » peut très bien se transposer en « bière au pub après la randonnée du jour ».